Non à la régression des retraites et de l’assurance chômage, Oui à la levée des brevets des vaccins, De l’argent Pour la reconstruction de l’Hôpital Public avec des moyens matériels et humains. Signez la pétition : http://chng.it/7H75rqNy7f
On ne peut combattre un tel virus à l’échelle d’un seul pays, d’autant que rien n’est fait afin que la population mondiale puisse bénéficier de la barrière des vaccins et que les promesses encore une fois du G7 en direction des pays les plus pauvres n’ont pas été suivies d’effets. Il y a plus que jamais urgence à lever les brevets sur les vaccins et à investir massivement dans la production de vaccins pour protéger l’ensemble des peuples et endiguer la pandémie. Macron et son gouvernement se refuse toujours à imposer cette solution aux grands laboratoires pharmaceutiques. Il est
également décisif d’apporter une aide immédiate aux pays les plus touchés, notamment ceux du Sud, par des moyens financiers, en matériel médical,
médicaments et protections et d’agir pour développer les capacités de production partout dans le monde.
Pour le Parti Communiste Français, la vaccination doit devenir une grande cause nationale et mondiale car elle est la meilleure protection contre l’épidémie. Elle doit être accompagnée d’une politique ambitieuse de prévention et d’un investissement massif dans la recherche publique pour développer, en plus des vaccins, des traitements efficaces contre le Covid-19.
Si des Français ne sont pas encore vaccinés et même doute des véracités scientifiques, c’est d’abord du fait d’une gestion personnelle et libérale de Macron sur la Pandémie, pour les profits des Laboratoires et des décisions incroyables de déléguer cette gestion à des cabinets et opérateurs
privés qui n’agissent en rien pour l’intérêt général.
La suspicion d’une partie du pays dont les manifs des samedis sont d’abord la réponse aux pouvoirs que s’octroie Macron ignorant le corps médical public depuis mars 2020 !
Le pays a besoin d’une politique nationale de santé publique d’un tout autre niveau pour combattre efficacement l’épidémie et convaincre largement nos compatriotes. Elle implique de développer la Sécurité Sociale, plutôt que de continuer à la piller au profit du patronat.
Il faut renforcer l’hôpital public et les EHPAD, créer des centaines de milliers d’emplois et développer la formation, mettre en place un pôle public du
médicament et développer des centres de santé publics.
Si les personnels soignants, ainsi que les agents du service public, en contact avec les usagers, doivent être incités (pas menacés ni contraints) à se faire vacciner, une stratégie publique offensive, élaborée démocratiquement à tous les niveaux et placée sous le contrôle du Parlement, doit
permettre d’aller à la rencontre de toutes celles et ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion de recevoir un vaccin. Si l’on veut réellement améliorer la couverture vaccinale du pays, aucun territoire, aucune catégorie sociale, à commencer par les plus fragiles, ne doit être abandonné, ignorée.
Alors que les conséquences de la Pandémie voilent à l’opinion les responsabilités des crises économiques sociales et financières
qui s’accumulent et provoquent une aggravation constante des inégalités. Cette situation appelle une politique d’urgence sociale, Macron choisit les provocations et tente de passer en force sur les contreréformes néo-libérales du monde de la finance.
Avec son annonce de l’instauration forcée d’indemnisation défavorables des sansemploi, alors que le chômage s’étend, sa volonté réaffirmée de faire travailler plus longtemps les salarié.e.s et le recul de l’âge du départ à la retraite, sa relance du démantèlement de la protection sociale, de
la Sécu et de l’ensemble des services publics et d’État, c’est une politique de casse sociale aggravée qu’il entend imposer au pays à marche forcée
« Quoiqu’il en coûte » C’est une autre société française faite de concurrence et d’affrontements !
C’est aux hommes et aux femmes qui ne vivent que de leur travail que ce Président des ultra-riches veut faire payer la crise financière mondiale et la Pandémie. Le chômage, la pauvreté et la précarité progressent pour l’immense majorité des Françaises et des Français, les délocalisations se poursuivent à un rythme soutenu partout, déchirant et affaiblissant sans cesse davantage le tissu industriel de la France.
Il faut mettre en échec ces projets, comme nous avons déjà mis en échec la « Retraite à Points », le démantèlement de l’EDF avec « Hercule.
Notre pays est à l’heure d’une politique qui permette à tous les secteurs de s’organiser, à des embauches massives dans les services
publics, à commencer par la santé et l’éducation nationale, au soutien à la culture.
L’heure est à une autre utilisation de l’argent ( contrôle public et citoyen) , à une loi de sécurisation de l’emploi et de la formation de chaque salarié.e, garantissant la continuité d’un emploi et d’un salaire, à une aide à la hauteur des besoins des TPE etPME au lieu de déverser des centaines de
milliards d’euros à des administrateurs actionnaires de groupes supprimant des activités et des emplois, à un nouveau mode de développement social et écologique faisant place à l’intérêt général, à une nouvelle industrialisation compatible aux ressources et capacités des territoires et des
populations, à des mesures d’ampleur contre la pauvreté et la précarité.
C’est ce à quoi le Parti Communiste Français, avec son candidat à l’élection présidentielle entend donner sens et perspectives avec la candidature de
Fabien Roussel en Avril 2022 !
Non pas pour contrer quelques candidatures que ce soit ou se compter dans cette gauche défunte, mais pour offrir un choix réel, un espoir populaire pour une politique progressiste des « Jours Heureux » Cela passe d’évidence par un rassemblement populaire agissant de la rue aux urnes jusqu’aux institutions de la République, bien malades des renoncements et trahisons au service des milliardaires, qui ne cessent de croître alors que chômage, mal-vie, jeunesse sacrifie sont le quotidien des familles.