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Le PCF  est disponible  aussi pour la souveraineté nationale de notre économie.

Le Pcf n’intervient nullement sur la situation des CNIM à La Seyne-sur-mer mer pour une « nationalisation « des pertes boursières sauvegardant le devenir de la fortune de la famille propriétaire les Dimitrief, mais bien pour susciter un rassemblement citoyen d’intervention populaire agissante, afin d’assurer par des rapports de force, sociaux, syndicaux, politiques la pérennité des emplois, activités, et donc celle des CNIM elle-même.

C’est pourquoi avec notre pétition et nos tracts, nous parcourons avec nos forces militantes les entreprises et marchés de l’agglomération afin d’informer, solliciter et susciter l’intervention citoyenne de la population varoise, et nous soutenons la pétition publique en cours qui circule sur Internet

https://www.change.org/su/p/prefet-du-var-cnim-var-laseyne-s%C3%A9curiser-l-emploi-p%C3%A9renniser-l-entreprise-industrielle/

N’espérons pas de ceux qui ont conduit justement à la situation d’aujourd’hui, et qui ont créé la crise et la menace de faillite qui, se précise, après avoir conduit aux faillites des « Escalators » et maintenant celle des « Déchetterie-Incinérateurs » 

Les uns et leurs amis politiques tentent de sauver leur capital et la propriété des brevets justifiant l’activité et l’existence des CNIM mais surtout leur fortune, les autres agissent pour l’intérêt général et du développement social-économique de Paca, du Var et de La Seyne. Donc la souveraineté industrielle française et les emplois induits , menacés de démantèlement et de pertes d’activités, de commande et d’emplois rendu défaillant par le marché financier et qui a conduit aux crises boursières déjà de 2008, et  dont l’actuel inflation historique des valeurs à la bourse annonce un cataclysme social, dont la pandémie ne fait que cacher les causes réelles, tout en les révélant par ces conséquences sur l’emploi, des dizaines voire centaines d’entreprises subissent et utilisent cette situation pour favoriser le rendement des profits au détriment de l’emploi et de la France, de Carrefour à Air-France et de Général Electrique à Bridgestone !

     Tous se gavent d’aides publiques sans contrôle de Macron-Le Maire et balancent par-dessus bord les salariés par milliers, particulièrement dans l’industrie et le grand commerce.

Certains pour détourner l’attention populaire de leurs responsabilités tels H. Falco, N. Bicais et C. Muschotti tentent de faire peur avec l’ombre de la Chine, comme si Dimitrief n’avait pas déjà externalisé  l’activité industrielle et les emplois en Chine, au Maroc, en Pologne, etc..

     Jusqu’à la débâcle de 100 millions d’euros  et la suppression de 619 emplois à  Londres qui a déstabilisé CNIM et provoqué l’effondrement de 90% de la valeur en bourse et l’intervention du ministère de l’Economie de B. Le Maire qui fait prévaloir le « marché capitaliste »  et a renvoyé au tribunal de commerce de Paris et à ses décisions, avec l’obligation « d’adossement » ( démantèlement) de CNIM pour assurer provisoirement ( prêt usuraire à 6% et vente du siège) sa stabilité financière dans l’exercice et la réalisation des commandes en cours, qui pour l’essentiel sont des commandes d’entreprise publique et d’Etat ! Mais les concurrents de CNIM n’ont en réalité aucun intérêt à CNIM sinon de récupérer les marchés et surtout les brevets dont CNIM est titulaire. La Seyne, le Var, les emplois, l’intérêt général leur est étranger ! Le Capital et ses administrateurs n’ont pas d’identité nationale ils n’ont que des dividendes à obtenir extorqués du travail.

Le Pcf est solidaire bien sûr des salariés poussés au désespoir et agit pour favoriser les mobilisations sociales, syndicales et politiques.

Le Pcf est disponible afin d’agir ENSEMBLE pour la pérennité des CNIM et des emplois comme pour la restauration de la souveraineté industrielle nationale du médicament aux services public de santé, de l’Hôpital et de l’Education, cela passe effectivement par une nationalisation partielle et un soutien bancaire de l’Etat stratège industriel, non pas soudoyé, mais que nous traduisons par un POLE PUBLIC NATIONAL de l’INDUSTRIE de DEFENSE. En l’occurrence nous estimons qu’ici c’est possible, déjà Sarkozy s’y était résolu pour St Nazaire face au retrait de STX, aujourd’hui c’est CNIM et aussi d’autres comme Général Electrique que Macron a bradé pour de vils intérêts particuliers.  

Restauration de la souveraineté à laquelle les gouvernants des 30 dernières années ont très gravement portés atteinte, par la pseudo réduction des déficits publics, jusqu’à laisser sans soutien la population face à la Covid et à la pandémie (masque, test, hopitaux, Ehpad ) , comme en témoignent les confinements successifs auxquels nous en sommes réduit. Macron en profite pour déverser par milliards les deniers publics aux acteurs du Capital !  Alors que justement c’est le  «coût du Capital »  par les prélèvements des pseudo aides aux entreprises du capital sur l’économie réelle (budget Sécurité sociale) qui coûtent très cher  et captent et détournent  les ressources du pays, nécessaires aux retraites, à la Sante publique à l’Education.   

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