Le premier ministre Barnier, illégitime à son poste, a décidé avec son gouvernement au service des capitalistes de continuer à démolir les services publics.

Son budget prévoit 40 milliards de dépenses publiques en moins !

L’application de ce budget se traduirait (s’il était voté) par de suppressions massives de postes :

  • 4 000 postes d’enseignants en moins donc davantage d’élèves par classe !
  • Des dizaines de milliers de personnels territoriaux supprimés dans les départements les communes, les Régions donc moins de services rendus à la population. 
  • Coupes budgétaires dans la culture, dans les subventions aux associations ! Certaines ne pourront survivre à cette saignée

De plus le gouvernement veut démanteler le fret ferroviaire, augmenter les jours de carence pour la Fonction publique.

Les services publics jouent un rôle essentiel dans la République, ils sont la colonne vertébrale de la République !

De nombreux syndicats appellent à manifester le jeudi 5 décembre pour défendre les services publics et les développer, les rendre plus efficaces au service des citoyens notamment ceux qui ont des revenus modestes. C’est une question d’égalité républicaine.

La fédération du Var du PCF appelle les varoises et les varois à manifester nombreux ce jeudi 5 décembre.

Dès maintenant, le PCF propose des mesures d’urgence, fortes et indispensables, répondant aux attentes de nos concitoyens et concitoyennes :

  •  abroger la réforme des retraites,
  • augmenter les salaires et les pensions, garantir l’égalité professionnelle femmes-hommes,
  • un plan de prérecrutement dans les services publics (santé, éducation, transports, sécurité, justice…),
  • un plan d’urgence pour l’emploi et le développement de l’industrie française et de l’agriculture,
  • baisser de 30% le coût de l’énergie, geler les loyers et relancer les politiques climatiques,
  • renouer avec une action diplomatique de la France pour la paix.

Pour cela, mobilisons-nous partout !

Rendez-vous à 10h 30 : 

  • à Toulon place de la Liberté
  • à Draguignan devant la sous-préfecture